Слова — Мишель Ривгош, музыка — Angel Cabral
Je revois la ville en fête et en délire Suffoquant sous le soleil et sous la joie Et j'entends dans la musique les cris, les rires Qui éclatent et rebondissent autour de moi Et perdue parmi ces gens qui me bousculent Étourdie, désemparée, je reste là Quand soudain, je me retourne, il se recule, Et la foule vient me jeter entre ses bras...
Emportés par la foule qui nous traîne Nous entraîne Écrasés l'un contre l'autre Nous ne formons qu'un seul corps Et le flot sans effort Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre Et nous laisse tous deux Épanouis, enivrés et heureux.
Entraînés par la foule qui s'élance Et qui danse Une folle farandole Nos deux mains restent soudées Et parfois soulevés Nos deux corps enlacés s'envolent Et retombent tous deux Épanouis, enivrés et heureux...
Et la joie éclaboussée par son sourire Me transperce et rejaillit au fond de moi Mais soudain je pousse un cri parmi les rires Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...
Emportés par la foule qui nous traîne Nous entraîne Nous éloigne l'un de l'autre Je lutte et je me débats Mais le son de sa voix S'étouffe dans les rires des autres Et je crie de douleur, de fureur et de rage Et je pleure...
Entraînée par la foule qui s'élance Et qui danse Une folle farandole Je suis emportée au loin Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole L'homme qu'elle m'avait donné Et que je n'ai jamais retrouvé...
Я вновь вижу праздничный и восторженный город, Задыхающийся от солнца и от радости, И я слышу в музыке крики, смех, Которые раздаются и возобновляются вокруг меня. И потерянная среди этих людей, которые меня толкают, Оглушённая, растерявшаяся, я остаюсь тут, Когда вдруг я поворачиваюсь, он отступает, И толпа кидает меня меня в его объятия.
Уносимые толпой, которая нас тащит, Влечет нас за собой, Придавленные друг к другу, Мы составляем одно целое. И поток без усилия Нас влечет, связанных друг с другом, И нас оставляет обоих Расцветшими, опьяненными и счастливыми.
Влекомые толпой, которая устремляется И танцует Сумасшедшую фарандолу, Наши обе руки остаются спаянными. И иногда подталкиваемые Наши два сплетенных тела улетают И снова падают Расцветшие, опьяненные и счастливые...
И радость, осенённая его улыбкой, (досл. залитая) Меня пронзает и отражается в глубине меня, Но вдруг я вскрикиваю среди смеха, Когда толпа вырывает его из моих рук.
Уносимые толпой, которая нас тащит, И влечет нас за собой, Нас удаляет друг от друга, Я борюсь и я отбиваюсь, Но звук его голоса Задыхается в смехе других, И я кричу от боли, от ярости и от бешенства И я плачу...
Влекомые толпой, которая устремляется И танцует Сумасшедшую фарандолу, Я унесена вдаль И я сжимаю мои кулаки, проклиная толпу, Которая у меня крадёт Человека, которого она мне подарила, И которого я никогда не найду... Word - Michelle Rivgosh music - Angel Cabral
Je revois la ville en fête et en délire Suffoquant sous le soleil et sous la joie Et j'entends dans la musique les cris, les rires Qui éclatent et rebondissent autour de moi Et perdue parmi ces gens qui me bousculent Étourdie, désemparée, je reste là Quand soudain, je me retourne, il se recule, Et la foule vient me jeter entre ses bras ...
Emportés par la foule qui nous traîne Nous entraîne Écrasés l'un contre l'autre Nous ne formons qu'un seul corps Et le flot sans effort Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre Et nous laisse tous deux Épanouis, enivrés et heureux.
Entraînés par la foule qui s'élance Et qui danse Une folle farandole Nos deux mains restent soudées Et parfois soulevés Nos deux corps enlacés s'envolent Et retombent tous deux Épanouis, enivrés et heureux ...
Et la joie éclaboussée par son sourire Me transperce et rejaillit au fond de moi Mais soudain je pousse un cri parmi les rires Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras ...
Emportés par la foule qui nous traîne Nous entraîne Nous éloigne l'un de l'autre Je lutte et je me débats Mais le son de sa voix S'étouffe dans les rires des autres Et je crie de douleur, de fureur et de rage Et je pleure ...
Entraînée par la foule qui s'élance Et qui danse Une folle farandole Je suis emportée au loin Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole L'homme qu'elle m'avait donné Et que je n'ai jamais retrouvé ...
Once again, I see a festive and enthusiastic city Choking from the sun and the joy, And I hear the music screams, laughter, Which are distributed and resumed around me. And lost among these people who are pushing me, Stunned, confused, I'm staying here, When suddenly I turn around, he retreats, And the crowd throws me me into his arms.
Carried away by the crowd, which drags us, Draws us along, Pinned to each other, We are one whole. And the flow without effort We involves associated with each other, And leaves us both Budded, drunk and happy.
Drawn by the crowd that rushes And Dance Crazy farandola, Our two hands are soldered. And sometimes pushed by Our two intertwined bodies fly And once again fall Budded, drunk and happy ...
And the joy osenёnnaya his smile (literally. Bathed) I pierces and is reflected in the depths of me, But suddenly I cry out amid laughter, When the crowd pulls it out of my hands.
Carried away by the crowd, which drags us, And carries us along, We were away from each other, I fight and I fight back But the sound of his voice Choking in laughter of others, And I scream from the pain, rage and rage And I was crying ...
Drawn by the crowd that rushes And Dance Crazy farandola, I'm blown away I clench my fists, cursing crowd, That I steal The man she gave me, And I'll never find ... Смотрите также: | |